Pour la culture ambiante, la fête de Pâques est souvent réduite à n’être presque rien d’autre qu’un amusement avec les lapins et les cocos en chocolat.

 

Pour la contreculture, c’est devenu une occasion pour dénoncer l’un des hameçons du capitalisme qui y déploie une orgie de sucre en attendant le prochain party qui sera annoncé dès le lendemain dans les vitrines des magasins.
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